Lamarée du siècle aura lieu les 21 et 22 mars prochains. Pensez à vérifier la qualité des sites de pêche à pied bretons sur week-end prochain, le coefficient de marée sera exceptionnellement important. En se retirant, la mer déouvrira de vastes espa es d’ordinaire ina essiles à pied. et Radio Compère Morel Aller au contenu Aller au menu Aller à la recherche Les Sept corbeaux, un conte merveilleux - Des contes traditionnels » Par Aurélie le mardi, novembre 15 2011, 1211 - FRANÇAIS - Lien permanent Si ça vous intéresse d'écouter ce conte, il est ici Commentaires 1. Le jeudi, décembre 29 2011, 1111 par Morgane Tiens tiens euch conte , j'ramaintuve un tcho molet c'étouais pos peindint eune sortie par eul club lecture ?! 2. Le vendredi, janvier 6 2012, 1600 par B. Halit C'est effectivement un conte qui avait été lu lors d'une visite à la maison de retraite avec le club lecture et qui sait ? peut-être par toi... Là, c'est Aurélie qui nous le propose... Et merci, Morgane, pour tous ces gentils commentaires postés. Fil des commentaires de ce billet Etpourtant des milliers et des milliers de poissons, de coquillages, de crustacés, de plantes et bien d’autres formes de vie improbables ne peuvent vivre que dans la mer, et dans la mer salée. Mais au fait, savez-vous pourquoi la mer est salée ? Voici ce que m'a expliqué un vieux pêcheur du Dourduff, et vous savez que les vieux pêcheurs, surtout ceux du Dourduff, ne mentent
L’eau couvre environ 70% de la surface de la Terre, et environ 95% de celle-ci est salée. Mais comment fait l’eau des mers et des océans pour être salée ? On vous explique tout ! Mais d’où vient tout ce sel ? Le sel des océans et des mers provient des roches terrestres. Selon le Service national des océans, si le sel des océans et de mers pouvait être enlevé et réparti uniformément sur la surface terrestre, il formerait une couche de plus de 166 mètres d’épaisseur. Énorme, n’est-ce pas ? Voici comment ça fonctionne, la pluie qui tombe sur le sol contient du dioxyde de carbone dissous de l’air. Cela rend l’eau de pluie légèrement acide en raison de l’acide carbonique. La pluie érode physiquement les roches et les acides décomposent chimiquement les roches et transportent des sels et des minéraux à l’état dissous sous forme d’ions qui rendent les eaux salées. Les ions sont ensuite transportés dans l’eau vers les ruisseaux et les rivières, les mers puis vers l’océan. La plupart des ions dissous sont utilisés par les organismes ou des corps marins dans l’océan et sont retirés de l’eau. Celles qui ne sont pas utilisées par ces organismes sont laissées pendant de longues périodes où leurs concentrations augmentent avec le temps. Les fluides hydrothermaux, qui proviennent des évents du fond marin, constituent aussi une source de sels dans l’océan. Des évents hydrothermaux se forment aux endroits où l’eau de mer rencontre le magma. Pourquoi l’eau des rivières et les lacs ne sont pas salés ? Les rivières et les lacs sont réapprovisionnés en eau de pluie fraîche, mais les océans sont une sorte de décharge où l’eau salée s’accumule. Quelle est la différence entre le sel de mer et le sel de table ? Le sel de mer est obtenu par évaporation de l’eau de mer. Le sel de table est extrait des gisements souterrains, mais est généralement traité pour éliminer les impuretés et contient près de 98% de chlorure de sodium. ——————— A lire aussi Quand planter des tomates ? Voici les choses à ne surtout pas dire lorsqu’une personne vous partage une expérience traumatisante
Ileut alors l'idée de la faire rouler hors de la maison, qui était sur une colline. La meule dévala la pente, roula jusque dans la mer et disparut dans les flots. Depuis ce temps-là, la meule continue à tourner au fond de la mer et à moudre
Dans un village, au bord de la mer, vivaient deux frères, Ti-Jeannot et Gros-Jean. Tous deux étaient pêcheurs, mais le premier était aussi pauvre... Lire la suite 5,25 € Neuf Expédié sous 3 à 6 jours Livré chez vous entre le 29 août et le 30 août Dans un village, au bord de la mer, vivaient deux frères, Ti-Jeannot et Gros-Jean. Tous deux étaient pêcheurs, mais le premier était aussi pauvre et maigre que l'autre était riche et dodu. La famille de Ti-Jeannot ne mangeait pas souvent à sa faim. Et vint le jour où il ne lui resta plus rien. Dehors, il neigeait, et il n'y avait pas de bois pour se chauffer. Ti-Jeannot, ne sachant plus que faire, alla chercher de l'aide auprès de son frère. Date de parution 16/10/2019 Editeur Collection ISBN 978-2-08-148865-6 EAN 9782081488656 Format Album Présentation Broché Nb. de pages 34 pages Poids Kg Dimensions 21,0 cm × 18,0 cm × 0,4 cm

Leblog des passionnés de l'OVNI 28. Il est dédié à l'OVNI 28 mais aussi à ses frères et à ses cousins plus ou moins lointains et d'une manière générale, à tout ce qui flotte, a un mât et est en alu. Ce BLOG est le vôtre. N'hésitez pas à l'utiliser pour partager vos expériences, vos récits, vos idées, vos projets.

Conte chinois qui répond à une question fondamentale pourquoi la mer est salée ? Une histoire de frères et de meule magique... Thème musical A Moonlight Night On The Spring River. Illustration et aide vocale d'Alena Kitaeva. Pas d'hémoglobine et fin heureuse. Un grand merci aux personnes qui me suivent et m'encouragent ! N'hésitez pas à découvrir du contenu inédit sur ma page Tipeee Les Contes du soir est à écouter sur les principales plateformes de podcast iTunes Spotify Deezer Et à suivre sur les réseaux sociaux YouTube Instagram Facebook
Nouvelleactivité à la Chapelle Saint-Buc – " Pourquoi la mer est salée ? Le mardi 6 août de 17 h à 19 h – Libre participation Chantal Gautier viendra lire un conte pour enfants à la chapelle. Ce conte sera précédé d'un goûter et de jeux dans l'enclos de la Le deal à ne pas rater Cartes Pokémon où commander le coffret Pokémon Go Collection ... € Voir le deal LJC MYTHES-CONTES-LEGENDES Contes & Légendes Contes AuteurMessageFaenorRang Administrateur Nombre de messages 742Age 58Localisation Aix-en-ProvenceEmploi Conteuse-MusicienneDate d'inscription 13/11/2004Sujet Et la Mer devint salée...Breton Mer 27 Sep - 1147 Les Contes de Génèse sont fort nombreux, surtout chez les amériendiens!les Contes de "Pourquoi", le sont tout autant, et ce fameux "Pourquoi la Mer est-elle salée" connait plusieurs versions, dont voici la Bretonne!! ET LA MER DEVINT SALEE ... BretonAs-tu jamais goûté l'eau de mer ? Pouah, que c'est salé ! Eh pourtant des milliers et des milliers de poissons, de coquillages, de crustacés et bien d'autre plantes et animaux ne peuvent vivrent que dans la mer, et dans la mer … salée. Mais au fait, sais-tu pourquoi la mer est salée ? Voici ce que m'a expliqué un vieux pêcheur de Concarneau, et tu sais que les vieux pêcheurs, surtout ceux de Concarneau, ne mentent jamais … chaque fois qu'ils disent la vérité … C'était il y a si longtemps que le grand-père de ton grand-père n'était pas encore né. Le sable du Cabellou était encore rocher et les paysans de Lanriec venaient en charrette aux Glénan pour y faire la moisson. En ce temps-là, le rivage de la mer se trouvait tout là-bas à la ligne d'horizon et, chose encore plus curieuse, l'eau de la mer…n'était pas salée ! Les pêcheurs en rapportaient carpes et goujons, truites et brochets, mais jamais la moindre sardine, jamais le plus petit merluchon. Le père Pélage était le plus ancien marin de Trévignon. Il était venu au monde il y avait si longtemps qu'il ne savait plus lui-même son âge. - Il avait déjà plus de cents ans quand j'ai fait ma première marée, affirmait le syndic du port, et son bateau est pour le moins aussi vieux que lui. C'est vrai que sa barque n'inspirait guère confiance. Entre les bordés disjoints, l'eau filtrait insidieusement. Pélage ne semblait pas en faire cas. On le voyait seulement, lorsqu'il jugeait que l'esquif s'enfonçait trop, déchausser l'un de ses sabots en guise d'écope et jeter par-dessus bord juste assez d'eau pour ne pas aller par le fond avant d'atteindre le port. Avec son unique casier couvert d'algues vertes, ce n'est pas lui qui risquait de dévaster les fonds. Il rapportait chaque jour exactement de quoi faire une fricassée ou une soupe parfumée. Vivant seul depuis bien longtemps, cela lui suffisait et jamais on ne l'avait entendu se plaindre. Les jeunes le taquinaient parfois - Alors, Pélage, trois anguilles seulement ? Un bon pêcheur comme toi, si tu voulais embarquer avec nous, avec des filets neufs tu ferais fortune ! Pélage se contentait de lever la main en soir-là, il hissait à bord son orin, comme à l'accoutumée, lorsqu'il vit s'agiter au fond du casier une étrange créature ce n'était ni un poisson ni un crabe comme il l'espérait mais une sorte de paquets d'algues d'où émergeaient de minuscules bras et une tête ébouriffée. Jamais, de toute sa vie, il n'avait vu chose pareille. Avec précaution, il la sortit de sa prison, la débarrassa des algues qui l'entravaient. Il découvrit alors une espèce de petit homme, grand comme la main et dont les jambes auraient été remplacées par un queue de poisson d'un vert fluorescent. Le curieux petit être s'agitait entre les doigts du pêcheur. En l'examinant de plus près, Pélage s'aperçut qu'il remuait les lèvres comme s'il parlait mais le claquement de la voie empêchait d'entendre si, réellement, des sons sortaient de cette bouche en miniature. Pour en avoir le coeur net, il affala la voile, s'assit sur le banc de nage et approcha de son oreille sa bizarre capture. Ce drôle de petit homme-poisson parlait ! D'une voix à peine audible, certes, mais il parlait - S'il te plaît, Pélage, rejette-moi à la mer. Que pourrais-tu faire de moi ? Je suis le roi des ondins ; mon peuple et moi vivons au fond de la mer et c'est nous qui accrochons les poissons dans les filets des pêcheurs. Je m'apprêtais justement à déposer une carpe dans ton casier quand tu l'as relevé et je suis resté dans le piège. Si tu me relâche, je te récompenserai, car notre pouvoir est très grand. Aussi éberlué qu'amusé, Pélage ne réfléchit pas longtemps ce gros coquillage qui restait au fond du casier suffirait bien à son repas du soir. Se penchant au-dessus de l'eau, il y déposa délicatement le petit ondin. Celui-ci plongea comme un éclair puis réapparut aussitôt. Sa voix était cette fois, beaucoup plus forte -Merci, vieux Pélage, merci de m'avoir libéré. Pour te remercier, garde bien ce coquillage que tu as pêché, car il est magique. Chaque fois que tu désireras quelque chose, dis exactement " Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-même et tourne ceci en mes mains ". Pour l'arrêter, il suffira de lui dire " Petit coquillage des ondins, arrête ton moulin. Repose-toi jusqu'à demain ! " Surtout n'oublie pas ces formules, sinon le coquillage ne t'obéirait plus. Et dans un remous turquoise, le petit ondin disparu. ...à suivre! _________________Belle et Douce Journée à vous! /I\ FaenorRang Administrateur Nombre de messages 742Age 58Localisation Aix-en-ProvenceEmploi Conteuse-MusicienneDate d'inscription 13/11/2004Sujet Re Et la Mer devint salée...Breton Sam 28 Oct - 1129 .../... la suite!En débarquant sur les rochers de Trévignon, Pélage fredonnait. Cette aventure hors du commun l'avait mis de bonne humeur mais, comme il lui arrivait de s'assoupir dans sa barque, il n'était pas sûr, au fond, de n'avoir pas rêvé toute cette histoire. Au moment de se mettre à table devant son éternel bol de soupe, il se prit à soupirer -Que j'aimerais, ce soir, manger un rôti de porc bien doré, comme celui de mes noces, il y si longtemps ! Et si ce coquillage avait réellement le pouvoir de… Il prit son ton le plus sérieux et ordonna -Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-même et tourne un rôti en mes mains. La phrase était à peine achevée qu'un énorme rôti, doré à point, lui sautait dans les mains. De surprise, le vieux pêcheur lâcha ce mets tombé du ciel mais un second rôti semblable vint aussitôt le remplacer. - Oh là ! c'en est trop ! Petit coquillage des ondins, arrête ton moulin. Repose-toi jusqu'à demain. Jamais Pélage n'avait été à pareil festin. Il s'endormit en rêvant aux mille choses que le coquillage allait lui procurer désormais. Avant le soleil levé, il était sur le port, mais comme il appareillait, la lourde voile décorée et rapiécée se déchira brusquement. Au lieu de se désoler , il pensa tout de suite au coquillage qu'il avait en poche - Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-même et tourne une voile en mes mains. Une magnifique misaine rouge se déroula au pied du mât. Le marin se pressa de lancer la seconde formule. Il n'avait que faire d'une deuxième voile semblable car la barque était bien petite ! En voyant sortir le vieux canot arborant une fine voile rouge, les autres marins n'en croyaient pas leurs yeux. Depuis qu'ils connaissaient Pélage, jamais ils ne lui avaient rien vu de neuf. Où pouvait-il avoir trouvé de quoi s'acheter pareil gréement ? Quand, le lendemain, on le vit sortir de sa chaumière portant vareuse encore craquante d'apprêt et sabots fleurant le bois fraîchement tranché, l'étonnement fut à son comble. Pélage avait-il vendu son âme au diable ? Il fallait savoir. Le village dormait depuis longtemps déjà. Seule la lampe de Pélage brillait derrière les petits carreaux de la maison. La porte de la chaumière d'en face s'entrouvrit discrètement. Sautant le mur, une silhouette vint se hisser jusqu'à la fenêtre éclairée. Le voisin avait été chargé de surveiller les faits et gestes du " nouveau riche ". Le pêcheur était assis devant l'âtre, un coquillage posé sur les genoux. Le voisin l'entendit nettement prononcer -Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-même et tourne une bûche en mes mains. Ebahi, le curieux vit une grosse branche de chêne, sortie d'on ne sait où, se placer en travers des genoux du bonhomme. Il en savait assez s'il réussissait à se saisir de ce coquillage magique, sa fortune était assurée. Ce n'était pas des voiles et des habits qu'il demanderait, mais de l'or et des diamants. Tapi dans l'ombre, il attendit que s'éteigne la lampe de Pélage. Il attendit encore et poussa la porte que le marin ne fermait jamais à clef car il ne possédait rien chez lui susceptible d'attirer les voleurs…Le boulanger du port allumait son four lorsqu'il vit passer le voisin de Pélage , chargé d'un grand sac. - Déjà levé Younnic ? Où vas-tu si tôt avec ton barda sur le dos ? L'autre parut gêné et pressa le pas - J'embarque pour Lorient où j'ai à faire. Il quittait en réalité le pays pour toujours car il emportait le coquillage magique et préférait être loin avant de s'en servir. Ainsi personne ne soupçonnait la raison de sa fortune nouvelle. Une fois au large, il comptait d'abord faire changer sa barque en goélette, lui faire apparaître un équipage et aller aux Amériques où il aurait carrosse, château et jardins. Il lui fallait pour l'instant gagner la haute mer avant que Pélage ne s'aperçût du larcin. Sur le coup de midi, il prépara une omelette sur le fourneau du bord. Mais dans sa précipitation il avait oublié à terre sel et poivre. Passe encore une omelette sans poivre, mais sans sel quel triste menu ! - Mais mon coquillage va sûrement me venir en aide ! Que disait le vieux déjà ? Ah, j'y suis petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-même et tourne du sel en mes mains. Une poignée de sel blanc bondit dans la poêle. -Oh, oh pas tant, tu vas gâcher mon omelette ! Une autre poignée avait rejoint la première, puis une autre encore. - Merci ! Merci ! C'est trop, j'en avais bien assez d'une poignée !Arrête-toi ! Mais le sel continuait à s'amonceler sur le fourneau - Cela suffit ! Vas-tu finir, maudit coquillage ?… Le fond de la barque était maintenant recouvert d'une épaisse couche blanche qui roulait en vagues au gré du roulis. Younnic en avait jusqu'aux genoux et tentait en vain de se dégager, tandis que le bateau s'enfonçait lentement. Au prix d'un terrible effort, il put agripper le mât et s'y hisser. Si seulement il avait pu retrouver le coquillage et le jeter à l'eau, sans doute cette marée de sel se serait-elle arrêtée. Mais le coquillage était lui-même enseveli on ne sait où. Younnic se sentit perdu. Le sel dépassait le plat-bord et retombait en cascade dans la mer. La barque n'allait pas tarder à couler bas. Le marin saisit une brassée de lièges suspendus au mât et sauta à l'eau… Quelques semaines plus tard, un trois-mâts faisait escale aux Amériques. Le cuisinier du bord s'appelait Younnic. Un drôle de cuisinier, à vrai dire, car il refusait toujours de mettre du sel dans le rata de l'équipage. On racontait qu'il avait été repêché en pleine mer, un paquet de lièges en guise de bouée… A Trévignon comme ailleurs, les pêcheurs s'aperçurent qu'ils ne rapportaient plus les mêmes espèces dans leurs filets ; c'étaient maintenant des maquereaux, des sardines et des rougets. Voilà des poissons qui avait du goût ! Et puis un jour, un petit enfant qui apprenait à nager au bord de la plage revint en hurlant vers sa mère - Elle est salée ! Elle est salée ! On mit un bon moment à comprendre il avait avalé une gorgée d'eau et avait ressenti une soudaine brûlure, l'eau de la mer était salée ! On Vérifia ici, on vérifia là. Partout la mer était maintenant salée… Quelque part, au fond de la mer , un très vieux coquillage tourne sans cesse sur lui-même et l'on raconte qu'au large des Glénan, l'Océan est toujours plus salé qu'en tout autre point du Globe. Va savoir pourquoi ?…Il y a d'autres versions que je porterai tantôt!si vous-même en avez une, n'hésitez pas!! _________________Belle et Douce Journée à vous! /I\ Et la Mer devint salée...Breton Page 1 sur 1 Sujets similaires» conte Breton "Scouarn, le Breton"/ Bonne lecture» Le Rhi'Mellen Conte BretonPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumLJC MYTHES-CONTES-LEGENDES Contes & Légendes ContesSauter vers Sommairepage 1 Raconte-moi l’eau en Vendée Architecture des fiches téléchargeables Sciences Fiches enseignant Fiches élève Fiches documentation AccueilLibrairie maritimeLibrairie jeunesseEnfants, 7 à 11 ansPourquoi la mer est salée ? Frais de port offerts dès 99 euros avec Mondial RelayR. Giraud, N. PeñaCe conte de la célèbre collection du Père Castor raconte l’histoire de Ti-Jeannot à qui le diable a accordé un moulin qui exauce les vœux. Mais Gros-Jean vole le moulin et part à la pêche qui se révèle miraculeuse. En savoir plusPour conserver le poisson, il demande du sel au moulin sans connaître la formule qui l’arrête…Un album souple de 32 pages illustrées au format 21 x 18 cm. Pourquoila mer est salée? Auteur : Robert Giraud. Illustrateur : Hélène Müller. Editeur : Père Castor Flammarion. à partir de 6 ans. Janvier 2001. Au moment de se mettre à table devant son éternel bol de soupe, il se prit à soupirer Que j’aimerais, ce soir, manger un rôti de porc bien doré, comme celui de mes noces, il y si longtemps ! Et si ce coquillage avait réellement le pouvoir de … Il prit son ton le plus sérieux et ordonna – Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-même et tourne un rôti en mes mains. » La phrase était à peine achevée qu’un énorme rôti, doré à point, lui sautait dans les mains. De surprise, le vieux pêcheur lâcha ce mets tombé du ciel mais un second rôti semblable vint aussitôt le remplacer. – Oh là ! c’en est trop ! Petit coquillage des ondins, arrête ton moulin. Repose-toi jusqu’à demain. Jamais Pélage n’avait été à pareil festin. » Il s’endormit en rêvant aux mille choses que le coquillage allait lui procurer désormais. Avant le soleil levé, il était sur le port, mais comme il appareillait, la lourde voile décorée et rapiécée se déchira brusquement. Au lieu de se désoler, il pensa tout de suite au coquillage qu’il avait en poche – Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-même et tourne une voile en mes mains. Une magnifique misaine rouge se déroula au pied du mât. » Le marin se pressa de lancer la seconde formule. Il n’avait que faire d’une deuxième voile semblable car la barque était bien petite ! En voyant sortir le vieux canot arborant une fine voile rouge, les autres marins n’en croyaient pas leurs yeux. Toile de Dany Wattier – Bateau à voile rouge Depuis qu’ils connaissaient Pélage, jamais ils ne lui avaient rien vu de neuf. Où pouvait-il avoir trouvé de quoi s’acheter pareil gréement ? Quand, le lendemain, on le vit sortir de sa chaumière portant vareuse encore craquante d’apprêt et sabots fleurant le bois fraîchement tranché, l’étonnement fut à son comble. Pélage avait-il vendu son âme au diable ? Il fallait savoir. Le village dormait depuis longtemps déjà. Seule la lampe de Pélage brillait derrière les petits carreaux de la maison. La porte de la chaumière d’en face s’entrouvrit discrètement. Sautant le mur, une silhouette vint se hisser jusqu’à la fenêtre éclairée. Le voisin avait été chargé de surveiller les faits et gestes du nouveau riche » ! Le pêcheur était assis devant l’âtre, un coquillage posé sur les genoux. Le voisin l’entendit nettement prononcer – Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-même et tourne une bûche en mes mains. » Ébahi, le curieux vit une grosse bûche de chêne, sortie d’on ne sait où, se placer en travers des genoux du bonhomme. Il en savait assez s’il réussissait à se saisir de ce coquillage magique, sa fortune était assurée. Ce n’était pas des voiles et des habits qu’il demanderait, mais de l’or et des diamants. Tapi dans l’ombre, il attendit que s’éteigne la lampe de Pélage. Il attendit encore et poussa la porte que le marin ne fermait jamais à clef car il ne possédait rien chez lui susceptible d’attirer les voleurs… Le boulanger du port allumait son four lorsqu’il vit passer le voisin de Pélage, chargé d’un grand sac. – Déjà levé Younnic ? Où vas-tu si tôt avec ton barda sur le dos ? » L’autre parut gêné et pressa le pas – J’embarque pour Lorient où j’ai à faire. » Il quittait en réalité le pays pour toujours car il emportait le coquillage magique et préférait être loin avant de s’en servir. Ainsi personne ne soupçonnerait la raison de sa fortune nouvelle. Une fois au large, il comptait d’abord faire changer sa barque en goélette, lui faire apparaître un équipage et aller aux Amériques où il aurait carrosse, château et jardins. Il lui fallait pour l’instant gagner la haute mer avant que Pélage ne s’aperçût du larcin. Sur le coup de midi, il prépara une omelette sur le fourneau du bord. Mais dans sa précipitation il avait oublié à terre sel et poivre. Passe encore une omelette sans poivre, mais sans sel quel triste menu ! Mais mon coquillage va sûrement me venir en aide ! Que disait le vieux déjà ? Ah, j’y suis – Petit coquillage des ondins, tourne, tourne sur toi-même et tourne du sel en mes mains. » Une poignée de sel blanc bondit dans la poêle. – Oh, oh Pas tant, tu vas gâcher mon omelette ! Une autre poignée avait rejoint la première, puis une autre encore. » – Merci ! Merci ! C’est trop, j’en avais bien assez d’une poignée ! Arrête-toi ! » Mais le sel continuait à s’amonceler sur le fourneau – Cela suffit ! Vas-tu finir, maudit coquillage ?… » Le fond de la barque était maintenant recouvert d’une épaisse couche blanche qui roulait en vagues au gré du roulis. Younnic en avait jusqu’aux genoux et tentait en vain de se dégager, tandis que le bateau s’enfonçait lentement. Au prix d’un terrible effort, il put agripper le mât et s’y hisser. Si seulement il avait pu retrouver le coquillage et le jeter à l’eau, sans doute cette marée de sel se serait-elle arrêtée. Mais le coquillage était lui-même enseveli on ne sait où. Younnic se sentit perdu. Le sel dépassait le plat-bord et retombait en cascade dans la mer. La barque n’allait pas tarder à couler bas. Le marin saisit une brassée de lièges suspendus au mât et sauta à l’eau … Quelques semaines plus tard, un trois-mâts faisait escale aux Amériques. Le cuisinier du bord s’appelait Younnic. Un drôle de cuisinier, à vrai dire, car il refusait toujours de mettre du sel dans le rata de l’équipage. On racontait qu’il avait été repêché en pleine mer, un morceau de liège en guise de bouée … A Trévignon comme ailleurs, les pêcheurs s’aperçurent qu’ils ne rapportaient plus les mêmes espèces de poissons dans leurs filets; c’étaient maintenant des maquereaux, des sardines et des rougets. Voilà des poissons qui avaient du goût ! Et puis un jour, un petit enfant qui apprenait à nager au bord de la plage revint en hurlant vers sa mère – Elle est salée ! Elle est salée ! » On mit un bon moment à comprendre. Il avait avalé une gorgée d’eau et avait ressenti une soudaine brûlure, l’eau de la mer était salée ! On vérifia ici, on vérifia là. Partout la mer était maintenant salée… Quelque part, au fond de la mer, un très vieux coquillage tourne sans cesse sur lui-même et l’on raconte qu’au large des Glénans, l’Océan est toujours plus salé en tout point du Globe. Allez savoir pourquoi ?… Une bête à corne née un 13 AVRIL 1952 Maman et Mère-Grand...! Vous trouverez ici humour de bon matin, sagas historiques sur ma Bretagne, des contes et légendes, des nouvelles et poèmes, de très belles photographies de paysages et d’animaux, de la musique une petite préférence pour la musique celte, des articles culturels, et de temps en temps quelques coups de gueules...! Tous droits réservés © Afficher tous les articles par ZAZA-RAMBETTE PDrh.
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