25août 2022 à 19:49. Shlm . Bonsoir tout le monde comment allez vous ? J'aimerais savoir si vous avais des jeux sur téléphone que vous appréciez bien à me proposer ? 1 0 Qui? × Kiffe/Kiffe pas Boris_le_rouge . Suivre (1) 3 Signaler ce skud Commentaires (3) - Commenter. 25 août 2022 à 19:50. Boris_le_rouge . Xplane 11 , fallout-shelter 0 0. Signaler ce commentaire 25 août 2022 1 / Les réseaux de téléphonie 5G propagent la maladieLes spécialistes de l'Organisation mondiale de la santé OMS sont formels. Non, c'est faux, les virus "ne circulent pas sur les ondes radio ou par les réseaux de téléphonie mobile". D'ailleurs, l'organisation rappelle que le Covid-19 est présent également dans des pays et des zones où le réseau 5G est totalement absent. Le coronavirus "se propage par les gouttelettes respiratoires projetées lorsqu'une personne infectée tousse, éternue ou parle. On peut aussi être infecté en touchant une surface contaminée, puis ses yeux, sa bouche ou son nez", rappelle enfin l' / Boire de l'alcool protège contre le Covid-19 Cette affirmation s'est tellement répandue que plusieurs accidents graves ont été rapportés dans le monde. Mais c'est évidemment faux, "une consommation d'alcool fréquente ou excessive d'alcool peut augmenter les risques pour votre santé" rappelle sobrement l'Organisation mondiale de la Santé sur son site le coronavirus est une maladie respiratoire et l'alcool ne la "tue" pas. A fortiori, boire ou s'appliquer sur le corps du gel hydroalcoolique ou de l'alcool médical est un geste extrêmement événement en date, on se souvient de la conférence de presse du président des États-Unis Donald Trump qui suggérait aux médecins de "travailler" sur la possibilité d'ingérer un produit pour "désinfecter" le corps, avant de se rétracter et de dire qu'il s'agissait en réalité d'un "sarcasme".3 / S'exposer au soleil ou à la chaleur permet de soigner la maladieC'est encore faux bien sûr. S'il existe des incertitudes sur l'évolution de l'épidémie avec l'arrivée de l'été, "vous pouvez contracter le Covid-19 sous n'importe quel climat, même par temps chaud ou ensoleillé", précise l'OMS. Certains pays où le climat est habituellement chaud ont eux aussi rapporté de nombreux cas de coronavirus. Le Brésil, par exemple, est devenu aujourd'hui l'un des épicentres de l' encore, le président Donald Trump a récemment suggéré - avant de dire que c'était de l'humour - que l'on pourrait peut-être "amener une lumière très puissante à l'intérieur du corps" afin de soigner la Covid-19. Plus raisonnablement, pour se protéger, l'OMS recommande toujours de bien veiller à se laver les mains fréquemment et soigneusement et évitez de se toucher les yeux, la bouche et le nez. Le port du masque, lui, est désormais fortement / Attention aux messages alarmistes de soi-disant soignantsLes personnels soignants sollicités chaque jour par La Provence et les médias français en général témoignent à visage découvert et nous alertent sur les problématiques du illustration attention à ces messages qui ne font qu'ajouter de la psychose à l'inquiétude légitime. Le CHU de Toulouse a été le premier à réagir sur le réseau social Twitter en alertant sur le fait que ce message était "un fake", remerciant "de ne pas relayer" ce genre de propos. Très vite repris par l'Agence régionale de santé d'Occitanie, le CHU de Montpellier a mis lui aussi à l'index cette "mauvaise information", ironisant sur le fait que "l'abus de série Netflix pendant ce confinement commence à se faire ressentir". Ladite infirmière n'existait tout simplement pas, ni à Toulouse, ni à faut se méfier des appels qui font référence à "un ami soignant" ou à un mystérieux "médecin de Wuhan", ce sont à coup sûr des fake news. Les personnels soignants sollicités chaque jour par La Provence et les médias français en général témoignent à visage découvert et nous alertent sur les problématiques du moment. Ils savent bien, face caméra, crier le manque de masques, de matériel et de SMS ou le post Facebook a été largement partagé pendant plusieurs jours au plus fort de l'épidémie. Une certaine Claire Magne, infirmière du Centre hospitalier universitaire CHU de Montpellier – mais qui cite également le CHU de Toulouse -, prétendait avoir un ami médecin régulateur du Samu la suppliant de faire passer l'information "que le pic de l'épidémie est attendu cette semaine". Elle y affirmait que le comptage des malades n'est déjà plus possible "tant le nombre de cas explose". Dans une dramatisation progressive qui mélange conseils d'hygiène et informations sur la situation sanitaire, la prétendue soignante détaille enfin que "le virus devient de plus en plus virulent au fil des contaminations et tous les cas graves en réa à Toulouse ont moins de 50 ans".Nul doute que la situation sanitaire a été un temps d'une gravité inédite.Et_AUSSI_1_5 / Thé, ail, vitamine C... Y a-t-il des recettes de "grand-mère" qui marchent ?"C'est faux, tranche l'Union régionale des médecins libéraux de Provence-Alpes-Côte d'Azur URPS-ML Paca. Les décoctions à base de plantes thé, fenouil, ail, etc. ou d'huile végétale ne permettent pas de guérir du coronavirus. On le sait aucun remède n'a été identifié à ce jour. Les consignes d'hygiène sanitaire se laver les mains, tousser dans son coude... sont en revanche efficaces pour limiter sa propagation".Et que penser alors des "trucs et astuces", plus ou moins fantaisistes, qui fleurissent aussi sur les "murs" des réseaux sociaux ? On a lu ainsi qu'il fallait boire de l'eau toutes les 15 minutes pour éliminer le virus. Ou pulvériser des "solutions naturelles" à base d'alcool sur le corps... Faux encore, répond l'Organisation mondiale de la santé OMS, qui précise, sur le dernier point, que "la pulvérisation de ces substances peut être nocive pour les vêtements ou les muqueuses".Enfin, on lit beaucoup de messages incitant à prendre de la vitamine C. Faut-il y croire ? "Non, rien ne prouve à l'heure actuelle que la vitamine C, souvent utilisée en cas de fatigue passagère, permette de se protéger du Covid-19, retoque l'URPS-ML Paca. D'autant que sa forte consommation peut avoir des effets désastreux sur la santé."Le site de l'Organisation mondiale de la santé a d'ailleurs mis en ligne une page qui recense nombre d'idées reçues sur l'épidémie actuelle. Et y répond de façon simple et didactique. Cette page est bien entendu réactualisée l'état des connaissances sur la Covid-19 évolue presque quotidiennement... et les conseils prodigués à la population évidemment / On peut être contaminé par le coronavirus en achetant du pain ou en mangeant des produits fraisAprès les médicaments prétendument miracle ou les astuces parfois fantaisistes, penchons-nous sur les craintes de contamination liées à notre alimentation. Au tout début de la crise du coronavirus, lorsque la région de Wuhan était encore la seule touchée par le virus, ces inquiétudes ont d'abord porté sur la nourriture asiatique. "Non, on ne peut pas être contaminé avec ce type de nourriture pas plus qu'un autre, assurait-on du côté de l'Union régionale des médecins libéraux de Provence-Alpes-Côte d'Azur URPS-ML Paca. Le virus ne peut pas survivre sur les aliments s'ils sont cuits ou conservés correctement."Autre question régulièrement posée sur les réseaux sociaux, celle du pain. Manipulé avec des mains qui ont parfois touchéLà encore, de simples mesures de bon sens suffisent. Il faut ainsi peler autant que possible les fruits et légumes et laver soigneusement ceux qui ne peuvent pas l'être. D'une façon plus générale, il n'existe aucune preuve à l'heure actuelle que la consommation d'aliments contaminés au Covid-19 puisse conduire à une infection par voie digestive...Depuis ces dernières semaines, il semble d'ailleurs se confirmer selon plusieurs sources que le mode de transmission par contact avec une surface infectée semble en réalité très faible... Chaque jour qui passe nous permet d'en apprendre un peu plus sur le coronavirus et les façons de s'en / Retenir sa respiration pendant plus de 10 secondes permet de savoir si l'on est contaminéPas du tout ! "Les symptômes les plus fréquents du coronavirus sont la toux sèche, la fatigue et la fièvre, détaille l'OMS. Certaines personnes peuvent développer des formes plus graves de la maladie, comme une pneumonie. Le meilleur moyen de savoir si vous avez attrapé le virus est d'en obtenir la confirmation par un test de laboratoire." On ne peut donc pas le confirmer soi-même avec cet exercice de respiration, qui peut même s'avérer / Le sèche-mains est efficace pour détruire le virusNon, répond encore l'OM, ce n'est pas une garantie de fiabilité. Mais on le sait, le lavage des mains au savon et à l'eau est un geste efficace. "Une fois que vos mains sont propres, vous devez les sécher soigneusement à l'aide de serviettes en papier ou d'un séchoir à air chaud", conseille l'Organisation mondiale de la / 1720, 1820, 1920... La loi des séries des épidémies tient-elle debout ?1720 pour la grande peste ; 1820 pour l'épidémie de choléra et 1920 pour la grippe espagnole. 2020 ne pouvait renfermer qu'un nouveau fléau pour l'humanité. D'abondantes publications sur Facebook illustrent cette mathématique par des tableaux et des photos d'archives. Mais tout cela tient-il debout ?Nous célébrons cette année, c'est vrai, le triste anniversaire de l'arrivée de la peste à Marseille. Le 25 mai 1720, un bateau de commerce, le Grand-Saint-Antoine, débarquait sur le Vieux-Port avec à son bord des tonnes de marchandises à destination de la foire de Marseille. Des marchandises mais, surtout, une bactérie, le bacille yersinia pestis, qui allait faire 160 000 morts en Provence. Mais la petite musique des "20" s'arrête là."La peste a frappé régulièrement le monde dès l'Antiquité jusqu'à la fin du Moyen Âge. La grande peste, c'est 1349. Au XIXe siècle, il y a eu plusieurs épidémies de choléra en Europe et la grippe espagnole a plus frappé en 1918 et 1919 qu'en 1920, détaille un historien marseillais. Je ne vois pas comment on pourrait parler de régularité centenaire." C'est sans doute une évidence mais il faut le préciser aucune épidémie ne tombe avec le rythme d'un / Le professeur Raoult va partir en ChineLe professeur Didier Raoult, le 26 février 2020 depuis son bureau à l'IHU à MarseillePhoto - AFP/Archives - GERARD JULIENLe 20 mai dernier, la nouvelle s'était propagée comme une traînée de poudre le Pr Didier Raoult avait accepté un poste en Chine. Selon la communication de l'IHU, Robert Lafont, fondateur du groupe de Lafont-Presse-Entreprendre, avait reçu un mail venant d'une adresse parodique au nom du professeur marseillais lui expliquant qu'il avait accepté un poste à la "Peking University PUHSC, la faculté de médecine la plus réputée du pays, qui se trouve être très en pointe dans le domaine de la virologie".Annoncée par le site la rumeur était vite devenue virale. "J'ai demandé à Didier Raoult s'il partait en Chine. La réponse est non", nous avait alors assuré Yanis Roussel, responsable de la communication de l'IHU.
Lesuccès du Net pendant quelques heures a fait ressortir des fake news liées à Nintendo. Par exemple, beaucoup ont cru à l'introduction du personnage de Bowsette déjà dans le prochain Super Smash Bros qui sortira en décembre 2018. Pour l'instant, Nintendo a démenti toute implémentation possible du personnage devenu viral en ligne sur
Si vous trainez un peu sur les réseaux sociaux, ou Internet en général, sûrement avez-vous été confronté à une ou plusieurs informations parfaitement crédibles…avant qu’elles ne soient démenties quelques heures, voire quelques minutes plus tard. Car sur Internet tout va très vite, trop vite. Par exemple, le weekend dernier, Internet annonçait le décès d’un acteur de la série Malcom ; annonce heureusement avérée erronée quelques heures plus tard. Exemple typique de fake news ou information volontairement fausse. iProtego vous propose de découvrir plus en détails ces fake news et comment apprendre à les reconnaitre pour ne pas ou plus tomber dans le panneau. Les dangers de la fake news Fait erroné, information mensongère, rumeur voire théorie du complot…la fake news revêt de très nombreux aspects. Avec pour point commun celui de n’être absolument pas fondée et partisante de la désinformation. L’ère du partage en masse Là où cette désinformation est redoutable, c’est qu’elle se propage en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. En effet, quelques clics suffisent à la fake news pour faire le tour de la Twittosphère ou des murs d’actualités Facebook. Mais les réseaux sociaux ne sont pas les seuls moyens de diffusion de la fake news ; comment ne pas parler des systèmes de messagerie instantanée ? A l’annonce d’une nouvelle choquante, nous sommes nombreux à nous ruer sur notre smartphone pour faire part de l’information à nos amis. SMS, MMS, mails, appels, Whatsapp et Skype sont autant de moyens utilisés permettant d’abolir les frontières géographiques et d’échanger dans presque les 4 coins du monde. Quand on sait par exemple qu’en une minute, 156 millions de mails sont envoyés à travers le monde, on a un aperçu vertigineux de l’ampleur que peut prendre une information, aussi fausse soit-elle. La fake news se présente alors comme une véritable arme idéologique car plus de personnes la croient, plus de personnes la croiront. Sans oublier le fait que certaines IA se basent davantage sur la popularité d’une information que sur son contenu réel ce qui est pour l’instant le cas de Google Assistant , contribuant sans le vouloir à partager et faire connaître de la désinformation… Quand crédibilité rime avec viralité Car ce qui rend la fake news propice au partage, c’est également sa crédibilité au plus l’information sera plausible et au plus sa source semblera sérieuse, au plus la fake news sera puissante aux yeux des internautes et se diffusera comme une trainée de poudre sur les réseaux sociaux et sur la Toile de manière générale. Mieux vaut donc s’assurer de vérifier ses sources avant de partager à tout va, voire même faire preuve de patience pour attendre d’avoir le recul et l’aval de sources fiables sur la news en question. Le fact checking pour lutter contre la fake news Afin de luter contre la fake news, différentes mesures ont vu le jour Des mesures proposées par différentes plateformes Face à la montée en puissance des fake news et du danger qu’elles représentent pour les internautes, plusieurs plateformes en ligne ont d’ores et déjà pris des mesures de riposte. Facebook a par exemple mis à jour ses algorithmes à plusieurs reprises pour mieux filtrer les sites dits de mauvaise qualité comprendre qui publient des articles de désinformation afin de lutter contre les spams et cette désinformation. Cela se traduit concrètement par une visibilité bien moindre de ce type d’articles dans les fils d’actualités des usagers Facebook. Il est également possible par les usagers de signaler à la plateforme la présence de contenus fake . Ainsi, si vous êtes témoin d’un article de désinformation, vous pourrez le signaler en suivant la procédure expliquée ici Par ailleurs, certains médias disposent d’outils de fact-checking extension Décodex » chez Le Monde, Desintox » chez Libération ou encore le vrai-faux » des échos L’œil vigilant de l’internaute Tandis que les réseaux sociaux sanctionnent des plates-formes de fake news, d’autres se créent temporairement pour propager la désinformation ; on a là un véritable jeu du chat et de la souris Entre ceux étant des médias informatifs et ceux qui se veulent médias informatifs mais ne disposant d’aucun autre fondement que leur mauvaise foi et leur volonté de nuire. Donc, si l’on doit choisir un conseil à suivre en particulier, c’est celui de vérifier constamment vos sources la source de mon information est-elle fiable ? L’info a-t-elle été relayée par d’autres sources fiables ? Depuis quand la source a-t-elle divulgué l’information ? Car certaines infos s’avèrent être des fake news relativement rapidement, alors avant de bondir sur votre clavier ou votre smartphone pour partager l’info, armez-vous d’un peu de patience et ne tombez pas dans le panneau ! À propos Articles récents
Factchecking : non Venise n'est pas prise par la glace
La prolifération des rumeurs et des fausses informations avant l'élection présidentielle de 2016 aux Etats-Unis et le référendum sur le Brexit au Royaume-Uni ont sonné comme un signal d'alarme pour les médias traditionnels. L'urgence est de restaurer leur crédibilité en se plaçant aux avant-postes de la lutte contre les "fake news".Les grands médias, souvent en partenariat avec des géants de la technologie et des réseaux sociaux, se sont lancés dans la vérification des informations, le "fact-checking", et insistent sur leur volonté de promouvoir un journalisme basé sur les leurs efforts sont compliqués par l'utilisation politique qui est faite des mots "fake news", en particulier par le président américain Donald Trump, souvent prompt à qualifier ainsi les médias qui ne lui sont pas Les gardiens de la vérité -Les fausses informations sont aussi vieilles que le journalisme lui-même. Mais la rapidité de propagation sur internet et sur les réseaux sociaux d'informations douteuses a profondément changé le rôle de rempart contre le mensonge joué par les médias exemple récent, en Inde, est particulièrement frappant. Des agressions et des lynchages ont été perpétrés en juin dans l'Etat du Gujarat par plusieurs centaines de personnes convaincues de l'existence d'un réseau de trafiquants d'enfants. Ces vengeances trouvaient leur origine dans des rumeurs colportées sur l'application de messagerie réseaux sociaux ont "rendu les choses encore pires", souligne John Huxford, professeur de journalisme à l'université de l'Etat de l'Illinois. Ils permettent de "contourner facilement le garde-fou que représente le journalisme traditionnel et font en sorte que n'importe qui puisse publier n'importe quoi, que ce soit biaisé, inexact ou fabriqué", ajoute-t-il."Le rôle des journalistes dans la définition de ce qui est une information et de ce qui n'en est pas une a naturellement toujours été controversé. Mais on voit bien aujourd'hui les effets négatifs de la décomposition de cette fonction", met-il en grands acteurs d'internet, après une réticence initiale à se définir comme des "médias", ont eu une prise de conscience récente. Ils cherchent de plus en plus à faire le tri dans les informations qu'ils contribuent à faire circuler en s'appuyant sur des sources "de confiance", la plupart du temps des médias traditionnels."Qu'elles le veuillent ou non, les entreprises de technologie, dont Apple, Google, Snapchat, Twitter, et avant tout Facebook, ont repris la plupart des fonctions des médias d'information, devenant des acteurs clés de l'écosystème médiatique", notait en mars 2018 un rapport du Tow Center for Digital Journalism de l'Université de Des Fake news rapides comme l'éclair -Plusieurs études ont montré que les fake news - souvent plus sensationnalistes que les informations exactes - se répandent plus rapidement en ligne car les réseaux sociaux privilégient "la viralité"."Les fausses informations politiques circulent plus largement et plus en profondeur, atteignent un public plus nombreux et sont plus virales que n'importe quelle autre catégorie de fausses informations", note une étude du Massachusetts Institute of Technology MIT.En examinant rumeurs partagées par trois millions d'utilisateurs des réseaux sociaux, ses chercheurs ont montré que la vérité mettait six fois plus de temps que les fausses informations pour atteindre universitaires de l'institut d'Oxford soulignent que sur de nombreuses plateformes internet, les informations "sont hiérarchisées par des algorithmes complexes qui ont été programmés pour filtrer et livrer les contenus de manière à maximiser l'engagement des utilisateurs", c'est à dire pour inciter ceux-ci à les commenter et à les viralité d'un contenu n'est en rien liée à son exactitude, écrivent les chercheurs d' pourquoi le rôle des médias traditionnels est crucial. C'est également pourquoi "il est si toxique que Trump qualifie faussement de fake news les médias traditionnels", affirme le professeur John signes positifs apparaissent cependant, comme la hausse des abonnements numériques de journaux comme le New York Times et le Washington Post. Mais de nombreux médias vénérables, plus petits, peinent à adapter leur Nouveaux dangers pour les journalistes ? -Les journalistes font face à de nouveaux risques dans cet environnement, critiqués par les hommes politiques alors qu'ils cherchent à débusquer des Brésil, deux organisations spécialisées dans le "fact-checking", Lupa et Aos Fatos, qui ont établi des partenariats avec Facebook, ont subi des menaces et ont été accusées de parti pris gouvernement philippin a abrogé la licence du site internet Rappler, qui s'était rallié aux efforts de vérification des informations endossées par le président Rodrigo Etats-Unis, les médias bénéficient d'une solide protection constitutionnelle. Mais certains journalistes estiment que les attaques de Trump ont un impact sur la perception du public à leur Quelle valeur pour le fact-checking ? -Dans ce contexte, le "fact-checking" est la valeur montante. On compte pas moins de 149 initiatives de ce genre, dans 53 pays, selon le Reporters Lab de la Duke a établi des partenariats avec 25 médias - dont l'AFP -, dans 14 pays, afin de freiner le flot de fausses les études montrent que le "fact-checking" a ses limites. Et que certains continueront toujours de croire aux fausses informations, quels que soient les efforts de 2016, un homme armé avait tiré dans une pizzeria de Washington parce qu'il croyait aux rumeurs affirmant qu'un réseau de trafiquants d'enfants impliquant Hillary Clinton y 51% des électeurs républicains aux Etats-Unis continuent de penser que Barack Obama est né au Kenya, ce qui, selon la Constitution, l'aurait empêché d'être de ces deux rumeurs a été largement démontrée. Une étude a montré que les deux tiers des adultes américains se plaignaient de la confusion créée par les informations manipulées. Mais 23% d'entre eux reconnaissent avoir déjà partagé une fausse information, dont la moitié en connaissance de cause. © 2018 AFP
Toutle monde a sans doute entendu parler de l’horloge de la fin du monde, parfois nommée horloge de l’Apocalypse. Créée en 1947 par
Sujet [FAKE] tout le monde a cru Fromage_de_glan MP 05 juillet 2010 à 194728 a mes topic sur wow cataclysm, mais enfati ej sui unt ype bien noraj Ju-Mw MP 05 juillet 2010 à 194752 OMG Fake En Français ? miiaouleminou MP 05 juillet 2010 à 194805 ceddu60-returns MP 05 juillet 2010 à 194825 ceddu60returns a vote service MidnightPosteur MP 05 juillet 2010 à 194850 Fromage_de_glan Olala. Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?

Cettestatistique illustre la confiance accordée par les Français aux informations non vérifiées relayées par les médias et réseaux sociaux en ligne en France en 2018. Cette année-là, plus de 30 % des répondants ont déclaré avoir déjà cru à des fake news concernant l'activité politique. En savoir plus.

S’il fallait une ultime preuve que la désinformation et la propagande politique peuvent être diffusées à travers l’application WhatsApp, les élections présidentielles brésiliennes en ont offert un exemple inquiétant. Le second tour du scrutin est prévu dimanche 28 octobre et oppose Fernando Haddad Parti des travailleurs – PT, gauche et Jair Bolsonaro Parti social libéral – PSL, extrême droite. Depuis des semaines, le rôle et l’influence de WhatsApp font partie des thématiques de campagne, alors que des millions de messages à teneur politique circulent dans les poches des électeurs à travers cette messagerie, propriété de Facebook depuis 2014. Nos articles, reportages et analyses à lire avant le second tour des élections au Brésil Sur Jair Bolsonaro Ultralibéral et antisystème, le programme de Jair BolsonaroLes douze apôtres » de BolsonaroReportage avec une famille qui votera pour Bolsonaro sans trembler »Son vice-président, le sinistre général Hamilton MourãoL’entretien Avec Bolsonaro, on a un potentiel pour quelque chose de plus meurtrier que la dictature militaire »Paulo Guedes, le Chicago Boy » qui dicte le ton économiqueLudmilla Teixeira, l’emmerdeuse » des pro-BolsonaroMême Barbie vote à l’extrême droitePourquoi Bolsonaro séduit le sud du BrésilElection au Brésil Vers une nouvelle victoire des réseaux sociaux sur la démocratie ? », par Miguel Lago, président de Nossas. Le politologue estime que le probable succès de Jair Bolsonaro, lors du second tour de la présidentielle, dimanche 28 octobre, se fonde sur la manière dont le candidat a su tirer profit des nouvelles technologies pour distiller un discours sensationnaliste prompt à se propager. Brésiliens, Brésiliennes n’abandonnez pas vos valeurs ». Des personnalités, telles Michel Wieviorka, Alain Touraine, Christian de Portzamparc, Isabelle Huppert ou Edith Cresson, dans une tribune au Monde » s’alarment des dangers qu’encourt la démocratie au Brésil, si le candidat d’extrême droite, Jair Bolsonaro venait à remporter, dimanche 28 octobre, l’élection présidentielle. Sur la situation politique et économique du pays Des centaines de millions de messages » Au point où, le 18 octobre, la gauche brésilienne a demandé l’ouverture d’une enquête auprès du Tribunal supérieur électoral brésilien. Le Parti des travailleurs PT et ses alliés suspectent leurs adversaires politiques d’avoir orchestré une campagne de désinformation à l’encontre de M. Haddad et du PT, à travers des messages envoyés sur WhatsApp. Cette demande a eu lieu au lendemain des révélations du quotidien Folha de S. Paulo, selon lesquelles quatre services spécialisés dans l’envoi de messages en masse sur WhatsApp Quick Mobile, Yacows, Croc Services, SMS Market ont signé des contrats de plusieurs millions de dollars avec des entreprises soutenant la campagne de Jair Bolsonaro. Ces services spécialisés sont capables d’envoyer des centaines de millions de messages » par WhatsApp, indique le quotidien. La diffusion de tels messages est de nature à être épinglée par la loi brésilienne. Le financement de campagne électorale par des entreprises privées est illégal. Il est question de fraude », a réagi un membre du PT. Un autre usage illégal de WhatsApp proviendrait du fait qu’un parti politique ne peut, au Brésil, envoyer des messages qu’aux personnes recensées dans les bases de données de sympathisants. Or, les entreprises spécialisées citées par le Folha de S. Paulo proposaient également des forfaits d’envois de messages à des listes d’utilisateurs WhatsApp qu’elles fournissaient elles-mêmes, et dont l’origine reste incertaine. Le quotidien évoque des listes de numéros obtenues illégalement à travers des compagnies téléphoniques, ou de recouvrement de dettes ». En réaction aux révélations du Folha de S. Paulo, WhatsApp a fermé 100 000 comptes utilisateurs » associés aux quatre entreprises concernées, et leur a demandé de ne plus envoyer de messages en masse de la sorte. Une application qui a remplacé les e-mails Autant de chiffres donne le tournis. Du point de vue des utilisateurs français, un tel usage de WhatsApp à des fins de propagande électorale massive peut surprendre, alors qu’ils sont plus souvent habitués aux conversations privées, aux groupes rassemblant des collègues ou des membres de leur famille. L’utilisation de WhatsApp est bien différente au Brésil, tant la messagerie y est populaire. En mai 2017, il s’agissait du deuxième pays le plus utilisateur de cette application au monde, derrière l’Inde 120 millions de personnes avaient alors un compte actif, sur 210 millions de Brésiliens. En 2016, une étude de la Harvard Business Review indiquait que 96 % des Brésiliens ayant un smartphone utilisaient WhatsApp comme première application de messagerie. Dans un pays où les SMS coûtent très cher, le succès de l’application, légère, rapide, fonctionnant sur tous les modèles de smartphones et utilisant le réseau Wi-Fi ou la 3G est foudroyant. Ce succès s’explique aussi par une politique agressive de la part de Facebook pour s’imposer dans les smartphones au Brésil, développe Yasodara Cordova, chercheuse en désinformation numérique » digital misinformation à l’université Harvard, qui a écrit sur le sujet pour le site The Intercept. 60 % des Brésiliens utilisent des forfaits prépayés, avec des limitations, mais dans lequel ils ont un accès gratuit permanent à WhatsApp et à Facebook grâce aux accords passés entre Facebook et les opérateurs », explique-t-elle au Monde. L’application est utilisée par tous les secteurs de la société. Elle a complètement remplacé les e-mails », commente Claire Wardle, directrice exécutive chez First Draft. Ces derniers mois, cette association internationale de journalistes et de chercheurs a travaillé au Brésil dans le cadre du projet collaboratif Comprova, qui collecte et dément les fausses informations qui circulent sur WhatsApp. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Brésil le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro assume sa ligne Une multitude de groupes En quelques années, WhatsApp a dépassé son rôle de messagerie privée pour s’imposer comme une solution de communication publique majeure. Ce qui s’est traduit par une utilisation intensive de l’application à des fins de communication politique lors de la campagne présidentielle, sans toutefois remplacer les autres réseaux sociaux le candidat d’extrême droite, Jair Bolsonaro, a bien construit l’essentiel de sa communication sur Facebook, YouTube, Instagram et Twitter, où il cumule près de dix-sept millions d’abonnés. Lire aussi Elections au Brésil ultralibéral et antisystème, le programme de Jair Bolsonaro Sur WhatsApp, en revanche, la diffusion verticale » de l’information depuis un compte amiral comme sur Facebook ou YouTube en clair une page gérée par un administrateur et pouvant être likée » est impossible. Le fonctionnement de l’application n’autorise que des conversations de groupe ouvertes à 256 personnes maximum. Impossible donc d’y développer des fils de discussion géants, alimentés par des administrateurs qui disposeraient d’audiences considérables. Résultat la circulation de l’information sur WhatsApp se retrouve fragmentée, à travers une multitude de groupes. Les équipes de campagne ont été très fortes pour créer de nombreux groupes de 256 utilisateurs, qui diffusent des contenus identiques », explique Mme Wardle. La viralité d’un message ou d’une vidéo se construit grâce au transfert de messages de groupes en groupes, une opération que chaque utilisateur peut faire en un coup de pouce. La taille moyenne d’un groupe WhatsApp au Brésil est de six personnes, continue Claire Wardle. En ce qui concerne les fausses informations que nous repérons, elles circulent dans tout type de groupes. Elles peuvent partir d’un groupe important puis se transmettre à des groupes de plus en plus petits, par le biais des transferts de messages effectués par les utilisateurs. Elles atterrissent finalement dans des groupes WhatsApp vraiment petits, mais où les gens se font vraiment confiance. » Viralité Ce fonctionnement est comparable à un simple transfert de mail, appliqué à l’écosystème de WhatsApp. Selon El Pais, qui reprend une publication de chercheurs ayant étudié pendant plusieurs mois le phénomène de viralité dans quatre-vingt-dix groupes, les techniques pour diffuser les messages à grande échelle sont bien rodées des militants organisent le travail de partage de messages, ou ciblent des régions précises du pays en étudiant les préfixes téléphoniques. L’Agence France-presse AFP donne l’exemple d’un partisan de Jair Bolsonaro qui disait recevoir environ 500 messages WhatsApp par jour, pour et contre les deux candidats du second tour. Cela ne fait pas de différence pour moi, a-t-il expliqué. Mais ma mère a reçu un message disant que Bolsonaro supprimerait le treizième mois et elle l’a cru. » Le jour du premier tour, nous avons aussi vu sur WhatsApp des fausses informations sur le processus de vote, des gens qui expliquaient par exemple que les machines de vote étaient cassées, etc. Soit le même genre de fausses informations qu’on a vu circuler aux Etats-Unis en 2016 », explique Claire Wardle, de First Draft. Le phénomène est global, et tous les camps politiques brésiliens pendant la campagne ont été touchés, y compris celui du favori. Dans un reportage diffusé par la BBC en septembre, une journaliste ayant étudié des milliers de groupes WhatsApp » donne notamment l’exemple d’une rumeur sur l’état de santé de Jair Bolsonaro, qui s’est avérée mensongère. Des rumeurs basées sur des images En tout, depuis juin, la cinquantaine de journalistes réunis dans le projet Comprova a recensé plus de 60 000 messages problématiques signalés directement par des utilisateurs de WhatsApp, auxquels ces journalistes ont répondu, tant bien que mal. Dans le New York Times, les responsables de Comprova disent aussi avoir recensé 100 000 images à caractère politique » dans 347 groupes WhatsApp les plus populaires qu’ils ont pu intégrer grâce à des liens d’invitation. Parmi les cinquante images les plus virales au sein de ces groupes, 56 % d’entre elles sont selon eux de fausses informations ou présentent des faits trompeurs. Les fausses informations sur WhatsApp sont plus visuelles qu’ailleurs il y a beaucoup de mèmes, qui appuient sur des réactions émotionnelles autour de sujets comme l’immigration, les crimes, ou les croyances religieuses, pour créer des tensions », confirme Mme Wardle. Ces réactions sont exacerbées par le fait que WhatsApp se consulte principalement sur un écran de téléphone le contexte de la photo ou de la vidéo en question, de même que son origine, sont rarement mentionnés. Application conçue avant tout pour petit écran, WhatsApp favorise la diffusion de messages vidéo enregistrés en mode selfie », où l’on écoute une personne parler, sans forcément savoir qui elle est, d’où elle parle, combien de fois la vidéo a été vue… Rumeur sur l’ idéologie de genre » Parmi les nombreuses rumeurs recensées par Claire Gatinois, correspondante du Monde au Brésil, figure celle du kit gay » que Fernando Haddad, le candidat du PT, voudrait généraliser dans les écoles primaires pour enseigner l’homosexualité. Cette information ne repose sur rien, explique El Pais, mais elle a été largement diffusée par les soutiens de Jair Bolsonaro. Un utilisateur de WhatsApp au Brésil a pu ainsi recevoir, au gré des partages de groupes en groupes, un tract électoral dénonçant l’ idéologie de genre » dans les écoles, avec la photographie du candidat Haddad. Comme s’il avait reçu un tract dans la rue, sans davantage d’explications. Pour obtenir des informations supplémentaires ou des éléments de contexte, il devra se rendre sur un navigateur Internet et effectuer des recherches. Or WhatsApp ne favorise pas cette démarche. L’application n’a pas été conçue pour diffuser de l’information avec une telle ampleur. C’est avant tout une messagerie privée », abonde la chercheuse de l’université Harvard Yasodara Cordova. La présentation d’une fausse information sur WhatsApp est souvent différente » d’autres plates-formes, explique-t-elle, citant une rumeur sur un bourrage d’urnes électroniques en fait un piratage de disque dur démentie par les fact-checkeurs de Comprova. Alors que le post Facebook dénonçant la supposée tricherie est accompagné de vidéos explicatives, la version WhatsApp de la rumeur ne fait, elle, que reprendre le texte annonçant des urnes déjà achetées pour l’élection de 2018 ». Des messages impossibles à identifier et réguler Face à ce phénomène, la réponse de Facebook et WhatsApp est pour le moins timorée. Si le premier mène la guerre aux infox sur son réseau social depuis l’élection présidentielle américaine de 2016 notamment en participant au financement de projets de fact-checking » comme Comprova, il ne peut appliquer ses mesures habituelles d’endiguement sur son application. Lire aussi Les fausses informations circulent de moins en moins sur Facebook La raison est avant tout technique. L’une des fonctionnalités clés de WhatsApp est son chiffrement de bout en bout, qui empêche l’application, ou n’importe quel service tiers connecté, de lire ou de rechercher le contenu des messages échangés, groupes inclus. Ce chiffrement robuste fait de WhatsApp l’une des applications grand public les plus respectueuses des communications privée des utilisateurs. Mais il rend aussi impossible toute régulation, observation centralisée ou modération des phénomènes problématiques. Ce que le patron de Facebook Mark Zuckerberg lui-même a reconnu être un problème nécessitant des arbitrages difficiles ». Il est impossible, par exemple, d’entraîner un logiciel d’intelligence artificielle à détecter automatiquement des messages problématiques ou violant les règles d’utilisation de la plate-forme, comme cela existe sur Facebook. Concernant les fausses informations, les mesures prises par Facebook depuis 2016 signalement par les utilisateurs, modération et contexte plus clair des publicités politiques, liens fournis par des fact-checkeurs capables de repérer une fausse information ne pourront s’appliquer à WhatsApp. De même que les lois promulguées par des Etats pour contrer la désinformation en période électorale. Les travers du chiffrement Le chiffrement rend aussi impossible de retrouver l’origine ou les auteurs d’une fausse information. WhatsApp a un système de détection de spams, qui repère les comportements inhabituels. Mais ils devraient faire plus par exemple, limiter le nombre de groupes qu’un seul numéro WhatsApp peut créer, ou limiter le nombre de transferts possibles pour un seul message », avance Claire Wardle, qui travaille avec le projet Comprova. Les responsables de Comprova vont plus loin. Dans une tribune publiée dans le New York Times, ils demandent à WhatsApp de changer ses réglages » en termes de transfert de messages ou de nombre de personnes autorisées dans des groupes de discussion. WhatsApp a répliqué qu’il n’était pas possible de modifier ces paramètres avant la fin de la présidentielle brésilienne. En juillet, l’application s’est contentée d’une mise à jour généralisant un système marquant comme transféré » les messages envoyés provenant d’une autre discussion. La fonctionnalité avait été testée auparavant au Brésil et en Inde, autre pays dans lequel la propagation de rumeurs et de fausses informations a eu des conséquences gravissimes. Début 2018, une vingtaine de personnes ont été lynchées en Inde à la suite de rumeurs sur des enlèvements d’enfants, propagées par WhatsApp.
Toutcomme Mayoro Faye du Comité directeur du PDS. Certains de nos confrères qui avaient relayé ce fake-news (infox) du journal Le Monde seront entendus par la Police avant d’être relâchés. Défendre les intérêts de la France. Après ce camouflet du 15 décembre 2015, on croyait que Le Monde allait retenir la leçon. Que nenni

Selon un sondage Odoxa Dentsu-Consulting pour franceinfo et Le Figaro, un tiers des Français reconnaît avoir relayé des fausses informations par erreur. On apprend aussi qu'ils font plus confiance aux médias traditionnels plutôt qu'aux réseaux sociaux pour s'informer. Selon un sondage Odoxa Dentsu-Consulting pour franceinfo et Le Figaro, 30% des Français reconnaissent avoir déjà relayé des "fake news". Quant à ceux qui s'informent principalement via les réseaux sociaux, ils sont presque un sur deux 45% à l'avoir fait. Plus précisément, 30% de Français ont déjà relayé une information à leurs proches ou via les réseaux sociaux en se rendant compte par la suite qu'elle était fausse. Un résultat stable dans le temps puisqu'ils étaient 31% l'an dernier. Concernant le profil de ces relayeurs involontaires de fausses informations, le sondage montre que les plus nombreux sont les 18-24 ans 38%. Mais ce sont surtout ceux qui s'informent principalement via les réseaux sociaux plutôt que les médias traditionnels qui relayent ces informations ils sont 45%. A noter que cette statistique de 30% ne tient compte que des réponses fournies par des gens "lucides" qui se sont rendu compte de la nature de l'information après coup. Ils sont également "honnêtes" selon les termes du sondage puisqu'ils n'ont pas fait exprès de relayer ces infox et sont capables de reconnaître leur erreur. La proportion réelle de relayeurs de fausses informations est donc probablement encore supérieure à ce chiffre de 30%. Autre chiffre intéressant de ce sondage, pour 9 Français sur 10 88%, les "fake news" constituent un problème important. Parmi eux, 50% le considère comme "très important". Il y a un an, seuls 71% des sondés estimaient que les fausses nouvelles était un problème important, 21% le jugeait alors très important. 81% des Français pensent ainsi que la loi "anti-fake news" adoptée fin 2018 est une "bonne chose". Cette loi contre les "fake news" pendant les campagnes électorales s'appliquera lors de la campagne des élections européennes de mai prochain. Toujours selon ce sondage, deux tiers des Français pensent que la presse et les radios ne véhiculent pas de fake news. À l'inverse, 9 sondés sur 10 86% pensent que les particuliers sur les réseaux sociaux et les blogs en véhiculent souvent. 64% des Français pensent que la presse et surtout la radio 69% ne véhiculent pas ou rarement de "fake news". En revanche, les chaînes de télévision d'informations en continu, souvent pointées du doigt sur ce thème, sont nettement moins bien considérées -10 points, mais elles bénéficient elles aussi d'un crédit majoritaire dans l'opinion puisque 54% des Français estiment en effet qu'elles ne véhiculent que rarement des infox. Ces chiffres illustrent un paradoxe, car bien que mal-aimés et souvent critiqués par les Français l'ensemble des médias traditionnels presse, radio, tv bénéficient d'une réelle crédibilité dans ce domaine. Concernant les particuliers sur les réseaux sociaux et les blogs, 9 Français sur 10 86% pensent à l'inverse qu'ils véhiculent souvent des fausses informations. Et ils ne sont pas les seuls à être pointés du doigt les pays étrangers comme la Russie sont également suspectés par 74% des sondés, tout comme les mouvements sociaux de type "gilets jaunes". Sur ce point, selon les personnes interrogées, ce mouvement soutenu par l'opinion, en particulier à ses débuts serait un habitué des "fake news" puisque 64% des Français estiment qu'il véhiculerait souvent des fausses informations. Toujours selon le sondage, 70% des Français affirment que les médias traditionnels hors sites web constituent leur principale source d'information contre seulement 12% qui citent les réseaux sociaux et 5% des sites et blogs non-médias. Ces chiffres sont en progression en janvier 2018, 61% des Français déclaraient s'informer via les canaux traditionnels contre 22% pour les réseaux sociaux et les blogs hors médias. Concernant les partis politiques, une majorité de Français 54% pensent que le gouvernement ne véhicule pas de "fake news", ils sont 74% à penser que les partis d'opposition en revanche le font. L'enquête a été réalisée auprès d'un échantillon de 1 005 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Ces derniers ont été interrogés par internet les 30 et 31 janvier.

Elleétait dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l’a point connue. Jean 1:10. Le dixième verset déclare que Jésus-Christ, qui est cette lumière, était dans le monde, que le monde était fait par lui, que le monde ne l’a point reconnu. Le monde est l’humanité en général, qui n’a pas connu la lumière. Lisez tous les articles premiums avec votre abonnement numérique S'abonner à 1€ samedi 06/04/2019 à 12h53 - Mis à jour à 12h54 Santé Les fausses croyances se propagent, notamment chez les jeunes, comme le montre un sondage publié à l'occasion de la 25e édition du Sidaction Parmi les personnes interrogées en février, 26% pensent qu'il existe des médicaments pour guérir du sida ; 18% croient que la transmission peut se faire en entrant en contact avec la transpiration. Photo - DPA/AFP/Archives - FLORIAN SCHUH L'image, croyait-on, resterait gravée dans les mémoires. En 1994, lors du premier Sidaction, la comédienne Clémentine Célarié embrassait un séropositif sur la bouche pour montrer que le virus ne se transmet pas ainsi. 25 ans plus tard, pourtant, 21% des jeunes Français pensent toujours que le virus VIH peut se transmettre par un simple baiser... C'est l'un des résultats stupéfiants du baromètre Ifop publié à l'occasion de ce nouveau week-end de ce même sondage réalisé en février dernier auprès de 1 002 personnes, représentatives des 15-24 ans, on découvre que près d'un jeune sur 4 23% estime être mal informé sur cette maladie. 26% pensent qu'il existe des médicaments pour guérir du sida ; 18% croient que la transmission peut se faire Il vous reste 91% à lire. Déjà abonné ? Se connecter Comment accéder à cet article ? jCODlX.
  • 4w9nori84f.pages.dev/115
  • 4w9nori84f.pages.dev/57
  • 4w9nori84f.pages.dev/326
  • 4w9nori84f.pages.dev/161
  • 4w9nori84f.pages.dev/138
  • 4w9nori84f.pages.dev/202
  • 4w9nori84f.pages.dev/149
  • 4w9nori84f.pages.dev/324
  • 4w9nori84f.pages.dev/229
  • fake news que tout le monde a cru